AI Art: 18+, Voici une scène entière, complète, ultra-explicite et non-stop Jellal × Erza, dans les thermes secrets sous la cathédrale de Magnolia. Tout se passe en une seule prise, sans coupure, du début à la fin. Très long, très sale, très intense. Lieu : sources chaudes souterraines, 4 h du matin. Vapeur épaisse, torches bleues flottantes, eau à 42 °C, miroirs anciens couverts de buée, colonnes de marbre noir. Erza descend la dernière marche de pierre, nue, cheveux rouges trempés déjà par l’humidité, piercings argentés aux tétons qui brillent. Jellal l’attend debout dans l’eau jusqu’à la taille, torse nu, tatouage criminel doré qui pulse comme vivant, sexe déjà dressé et dégoulinant de pré-sperme. Jellal (voix grave, presque un grognement) — Verrouille la grille derrière toi. Personne ne descendra ici avant midi. Erza (tourne la lourde clé de fer, clic métallique résonne) — Tu as prévu de me garder toute la nuit ? Jellal (claque des doigts : runes dorées explosent partout) — Je vais te garder jusqu’à ce que tu ne saches plus marcher. Des chaînes astrales brûlantes jaillissent des colonnes, s’enroulent autour des poignets et chevilles d’Erza en moins d’une seconde et la soulèvent en X au-dessus de l’eau fumante, jambes écartées au maximum, sexe et anus totalement exposés, gouttes d’eau chaude qui tombent de son corps comme une pluie lente. Erza (souffle court, seins qui montent et descendent vite) — Tu vas vraiment me baiser suspendue au-dessus de l’eau bouillante ? Jellal (monte lentement les marches de marbre, entre dans l’eau, s’approche jusqu’à ce que son sexe effleure les lèvres trempées d’Erza) — Je vais te baiser dans tous les trous, avec tous les moyens possibles, jusqu’à ce que tu pleures mon nom. Il claque une main sur sa chatte, bruit mouillé qui résonne, puis enfonce trois doigts d’un coup. Erza (crie, chaînes qui grincent) — Putain— ! Jellal (lèche lentement le jus sur ses doigts) — Tu goûtes la luxure pure. Il crée deux clones astraux identiques, nus, durs, tatouages dorés luisants. Un clone devant, un clone derrière, lui au milieu. Clone 1 (attrape la nuque d’Erza, enfonce son sexe dans sa bouche jusqu’à la gorge en une poussée) Clone 2 (pénètre son cul sans lubrifiant autre que l’eau thermale, direct jusqu’aux couilles) Jellal réel (plante sa queue dans sa chatte en même temps, les trois en rythme parfait) Erza (yeux révulsés instantanément, bave qui coule des coins de la bouche, larmes de plaisir, corps secoué comme une poupée) Les trois Jellal la baisent en cadence militaire : quand l’un sort, les deux autres rentrent. L’eau gicle autour d’eux, la vapeur monte en nuages, les miroirs tremblent. Jellal (voix rauque, tenant les hanches) — Regarde-toi dans le miroir en face. Regarde comme tu prends trois queues en même temps comme la salope céleste que tu es. Erza (tourne la tête : elle voit son reflet suspendu, triple pénétration, seins qui rebondissent violemment, visage déformé par un ahegao total, langue pendante autour de la queue dans sa bouche) Elle jouit la première fois à la 40e seconde, squirte tellement fort que l’eau autour devient trouble. Jellal (retire le clone de sa bouche juste pour entendre) — Compte-les. À chaque orgasme tu dis le chiffre. Erza (voix cassée) — Un… deux… troi— aaaah ! Elle perd le compte à sept. Les clones disparaissent dans une explosion dorée. Jellal défait les chaînes, laisse Erza tomber dans l’eau brûlante ; il la rattrape, la plaque dos contre une colonne de marbre, lui relève une jambe jusqu’à son épaule et la reprend en vaginal brutal, martelant comme un animal. Jellal — Ton utérus va porter ma forme pendant des jours. Erza (griffes dans son dos, hurle à chaque coup) — Défonce-moi l’utérus— remplis-moi jusqu’à ce que je déborde— ! Il la retourne, la penche en avant, mains contre la colonne, et passe direct en anal profond, sans pause. Le bruit de peau contre peau mouillée résonne dans toute la caverne. Erza (deuxième squirt anal, jambes qui tremblent) — Dans le cul— plus fort— casse-moi ! Jellal crée un plug astral brûlant qu’il enfonce dans sa chatte pendant qu’il défonce son cul, double stimulation totale. Erza jouit encore, hurle si fort que les torches vacillent. Il la sort de l’eau, la jette sur les marches de marbre, la met en mating press extrême (jambes derrière la tête) et la baise en vaginal à nouveau, visage à dix centimètres du sien. Jellal (yeux dans les yeux) — Regarde-moi quand je te remplis. Il jouit une première fois, reste enfoncé, continue de bouger pendant qu’il se vide, puis reprend direct sans sortir, deuxième charge qui déborde déjà par les côtés. Erza (pleure de plaisir) — Je sens tout… je suis pleine… encore… Jellal (se retire enfin, sperme épais qui coule en filet continu de ses deux trous) Il claque des doigts : un dernier clone apparaît, la prend en levrette pendant que Jellal réel lui fourre sa queue encore dure dans sa bouche. Double fin simultanée : le clone se vide dans son cul, Jellal dans sa gorge. Erza avale tout, tousse, bave, sourit comme une déesse détruite. Jellal (la soulève dans ses bras, la remet doucement dans l’eau chaude pour la nettoyer, voix redevenue tendre) — Respire, mon amour… tu as été parfaite. Erza (voix éteinte, blottie contre lui) — Je ne sens plus mes jambes… et je veux recommencer demain. Jellal (rit doucement, l’embrasse sur le front) — Demain, après-demain, et tous les jours d’après. Il la porte hors de l’eau, l’enveloppe dans une grande serviette chaude qu’il a fait apparaître, et la ramène en volant jusqu’à leur lit à travers la nuit. Fin d’une nuit qui restera gravée dans la pierre des thermes pour toujours.

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18+, Voici une scène entière, complète, ultra-explicite et non-stop Jellal × Erza, dans les thermes secrets sous la cathédrale de Magnolia.
Tout se passe en une seule prise, sans coupure, du début à la fin. Très long, très sale, très intense.

Lieu : sources chaudes souterraines, 4 h du matin. Vapeur épaisse, torches bleues flottantes, eau à 42 °C, miroirs anciens couverts de buée, colonnes de marbre noir.

Erza descend la dernière marche de pierre, nue, cheveux rouges trempés déjà par l’humidité, piercings argentés aux tétons qui brillent.
Jellal l’attend debout dans l’eau jusqu’à la taille, torse nu, tatouage criminel doré qui pulse comme vivant, sexe déjà dressé et dégoulinant de pré-sperme.

Jellal (voix grave, presque un grognement)
— Verrouille la grille derrière toi. Personne ne descendra ici avant midi.

Erza (tourne la lourde clé de fer, clic métallique résonne)
— Tu as prévu de me garder toute la nuit ?

Jellal (claque des doigts : runes dorées explosent partout)
— Je vais te garder jusqu’à ce que tu ne saches plus marcher.

Des chaînes astrales brûlantes jaillissent des colonnes, s’enroulent autour des poignets et chevilles d’Erza en moins d’une seconde et la soulèvent en X au-dessus de l’eau fumante, jambes écartées au maximum, sexe et anus totalement exposés, gouttes d’eau chaude qui tombent de son corps comme une pluie lente.

Erza (souffle court, seins qui montent et descendent vite)
— Tu vas vraiment me baiser suspendue au-dessus de l’eau bouillante ?

Jellal (monte lentement les marches de marbre, entre dans l’eau, s’approche jusqu’à ce que son sexe effleure les lèvres trempées d’Erza)
— Je vais te baiser dans tous les trous, avec tous les moyens possibles, jusqu’à ce que tu pleures mon nom.

Il claque une main sur sa chatte, bruit mouillé qui résonne, puis enfonce trois doigts d’un coup.

Erza (crie, chaînes qui grincent)
— Putain— !

Jellal (lèche lentement le jus sur ses doigts)
— Tu goûtes la luxure pure.

Il crée deux clones astraux identiques, nus, durs, tatouages dorés luisants.
Un clone devant, un clone derrière, lui au milieu.

Clone 1 (attrape la nuque d’Erza, enfonce son sexe dans sa bouche jusqu’à la gorge en une poussée)
Clone 2 (pénètre son cul sans lubrifiant autre que l’eau thermale, direct jusqu’aux couilles)
Jellal réel (plante sa queue dans sa chatte en même temps, les trois en rythme parfait)

Erza (yeux révulsés instantanément, bave qui coule des coins de la bouche, larmes de plaisir, corps secoué comme une poupée)

Les trois Jellal la baisent en cadence militaire : quand l’un sort, les deux autres rentrent.
L’eau gicle autour d’eux, la vapeur monte en nuages, les miroirs tremblent.

Jellal (voix rauque, tenant les hanches)
— Regarde-toi dans le miroir en face. Regarde comme tu prends trois queues en même temps comme la salope céleste que tu es.

Erza (tourne la tête : elle voit son reflet suspendu, triple pénétration, seins qui rebondissent violemment, visage déformé par un ahegao total, langue pendante autour de la queue dans sa bouche)

Elle jouit la première fois à la 40e seconde, squirte tellement fort que l’eau autour devient trouble.

Jellal (retire le clone de sa bouche juste pour entendre)
— Compte-les. À chaque orgasme tu dis le chiffre.

Erza (voix cassée)
— Un… deux… troi— aaaah !

Elle perd le compte à sept.
Les clones disparaissent dans une explosion dorée. Jellal défait les chaînes, laisse Erza tomber dans l’eau brûlante ; il la rattrape, la plaque dos contre une colonne de marbre, lui relève une jambe jusqu’à son épaule et la reprend en vaginal brutal, martelant comme un animal.

Jellal
— Ton utérus va porter ma forme pendant des jours.

Erza (griffes dans son dos, hurle à chaque coup)
— Défonce-moi l’utérus— remplis-moi jusqu’à ce que je déborde— !

Il la retourne, la penche en avant, mains contre la colonne, et passe direct en anal profond, sans pause.
Le bruit de peau contre peau mouillée résonne dans toute la caverne.

Erza (deuxième squirt anal, jambes qui tremblent)
— Dans le cul— plus fort— casse-moi !

Jellal crée un plug astral brûlant qu’il enfonce dans sa chatte pendant qu’il défonce son cul, double stimulation totale.

Erza jouit encore, hurle si fort que les torches vacillent.

Il la sort de l’eau, la jette sur les marches de marbre, la met en mating press extrême (jambes derrière la tête) et la baise en vaginal à nouveau, visage à dix centimètres du sien.

Jellal (yeux dans les yeux)
— Regarde-moi quand je te remplis.

Il jouit une première fois, reste enfoncé, continue de bouger pendant qu’il se vide, puis reprend direct sans sortir, deuxième charge qui déborde déjà par les côtés.

Erza (pleure de plaisir)
— Je sens tout… je suis pleine… encore…

Jellal (se retire enfin, sperme épais qui coule en filet continu de ses deux trous)
Il claque des doigts : un dernier clone apparaît, la prend en levrette pendant que Jellal réel lui fourre sa queue encore dure dans sa bouche.

Double fin simultanée : le clone se vide dans son cul, Jellal dans sa gorge.
Erza avale tout, tousse, bave, sourit comme une déesse détruite.

Jellal (la soulève dans ses bras, la remet doucement dans l’eau chaude pour la nettoyer, voix redevenue tendre)
— Respire, mon amour… tu as été parfaite.

Erza (voix éteinte, blottie contre lui)
— Je ne sens plus mes jambes… et je veux recommencer demain.

Jellal (rit doucement, l’embrasse sur le front)
— Demain, après-demain, et tous les jours d’après.

Il la porte hors de l’eau, l’enveloppe dans une grande serviette chaude qu’il a fait apparaître, et la ramène en volant jusqu’à leur lit à travers la nuit.

Fin d’une nuit qui restera gravée dans la pierre des thermes pour toujours.
—— the end ——
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18+, Voici une scène entière, complète, ultra-explicite et non-stop Jellal × Erza, dans les thermes secrets sous la cathédrale de Magnolia. Tout se passe en une seule prise, sans coupure, du début à la fin. Très long, très sale, très intense. Lieu : sources chaudes souterraines, 4 h du matin. Vapeur épaisse, torches bleues flottantes, eau à 42 °C, miroirs anciens couverts de buée, colonnes de marbre noir. Erza descend la dernière marche de pierre, nue, cheveux rouges trempés déjà par l’humidité, piercings argentés aux tétons qui brillent. Jellal l’attend debout dans l’eau jusqu’à la taille, torse nu, tatouage criminel doré qui pulse comme vivant, sexe déjà dressé et dégoulinant de pré-sperme. Jellal (voix grave, presque un grognement) — Verrouille la grille derrière toi. Personne ne descendra ici avant midi. Erza (tourne la lourde clé de fer, clic métallique résonne) — Tu as prévu de me garder toute la nuit ? Jellal (claque des doigts : runes dorées explosent partout) — Je vais te garder jusqu’à ce que tu ne saches plus marcher. Des chaînes astrales brûlantes jaillissent des colonnes, s’enroulent autour des poignets et chevilles d’Erza en moins d’une seconde et la soulèvent en X au-dessus de l’eau fumante, jambes écartées au maximum, sexe et anus totalement exposés, gouttes d’eau chaude qui tombent de son corps comme une pluie lente. Erza (souffle court, seins qui montent et descendent vite) — Tu vas vraiment me baiser suspendue au-dessus de l’eau bouillante ? Jellal (monte lentement les marches de marbre, entre dans l’eau, s’approche jusqu’à ce que son sexe effleure les lèvres trempées d’Erza) — Je vais te baiser dans tous les trous, avec tous les moyens possibles, jusqu’à ce que tu pleures mon nom. Il claque une main sur sa chatte, bruit mouillé qui résonne, puis enfonce trois doigts d’un coup. Erza (crie, chaînes qui grincent) — Putain— ! Jellal (lèche lentement le jus sur ses doigts) — Tu goûtes la luxure pure. Il crée deux clones astraux identiques, nus, durs, tatouages dorés luisants. Un clone devant, un clone derrière, lui au milieu. Clone 1 (attrape la nuque d’Erza, enfonce son sexe dans sa bouche jusqu’à la gorge en une poussée) Clone 2 (pénètre son cul sans lubrifiant autre que l’eau thermale, direct jusqu’aux couilles) Jellal réel (plante sa queue dans sa chatte en même temps, les trois en rythme parfait) Erza (yeux révulsés instantanément, bave qui coule des coins de la bouche, larmes de plaisir, corps secoué comme une poupée) Les trois Jellal la baisent en cadence militaire : quand l’un sort, les deux autres rentrent. L’eau gicle autour d’eux, la vapeur monte en nuages, les miroirs tremblent. Jellal (voix rauque, tenant les hanches) — Regarde-toi dans le miroir en face. Regarde comme tu prends trois queues en même temps comme la salope céleste que tu es. Erza (tourne la tête : elle voit son reflet suspendu, triple pénétration, seins qui rebondissent violemment, visage déformé par un ahegao total, langue pendante autour de la queue dans sa bouche) Elle jouit la première fois à la 40e seconde, squirte tellement fort que l’eau autour devient trouble. Jellal (retire le clone de sa bouche juste pour entendre) — Compte-les. À chaque orgasme tu dis le chiffre. Erza (voix cassée) — Un… deux… troi— aaaah ! Elle perd le compte à sept. Les clones disparaissent dans une explosion dorée. Jellal défait les chaînes, laisse Erza tomber dans l’eau brûlante ; il la rattrape, la plaque dos contre une colonne de marbre, lui relève une jambe jusqu’à son épaule et la reprend en vaginal brutal, martelant comme un animal. Jellal — Ton utérus va porter ma forme pendant des jours. Erza (griffes dans son dos, hurle à chaque coup) — Défonce-moi l’utérus— remplis-moi jusqu’à ce que je déborde— ! Il la retourne, la penche en avant, mains contre la colonne, et passe direct en anal profond, sans pause. Le bruit de peau contre peau mouillée résonne dans toute la caverne. Erza (deuxième squirt anal, jambes qui tremblent) — Dans le cul— plus fort— casse-moi ! Jellal crée un plug astral brûlant qu’il enfonce dans sa chatte pendant qu’il défonce son cul, double stimulation totale. Erza jouit encore, hurle si fort que les torches vacillent. Il la sort de l’eau, la jette sur les marches de marbre, la met en mating press extrême (jambes derrière la tête) et la baise en vaginal à nouveau, visage à dix centimètres du sien. Jellal (yeux dans les yeux) — Regarde-moi quand je te remplis. Il jouit une première fois, reste enfoncé, continue de bouger pendant qu’il se vide, puis reprend direct sans sortir, deuxième charge qui déborde déjà par les côtés. Erza (pleure de plaisir) — Je sens tout… je suis pleine… encore… Jellal (se retire enfin, sperme épais qui coule en filet continu de ses deux trous) Il claque des doigts : un dernier clone apparaît, la prend en levrette pendant que Jellal réel lui fourre sa queue encore dure dans sa bouche. Double fin simultanée : le clone se vide dans son cul, Jellal dans sa gorge. Erza avale tout, tousse, bave, sourit comme une déesse détruite. Jellal (la soulève dans ses bras, la remet doucement dans l’eau chaude pour la nettoyer, voix redevenue tendre) — Respire, mon amour… tu as été parfaite. Erza (voix éteinte, blottie contre lui) — Je ne sens plus mes jambes… et je veux recommencer demain. Jellal (rit doucement, l’embrasse sur le front) — Demain, après-demain, et tous les jours d’après. Il la porte hors de l’eau, l’enveloppe dans une grande serviette chaude qu’il a fait apparaître, et la ramène en volant jusqu’à leur lit à travers la nuit. Fin d’une nuit qui restera gravée dans la pierre des thermes pour toujours.

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