AI 艺术: Elle s’agenouilla au centre de la place, les poignets enchaînés, le regard vide. Tout autour, le peuple murmurait. Le jugement était tombé. Elle allait être exécutée. Et pourtant, dans son cœur, ce n’était ni la peur, ni la colère. C’était le regret. — Si je pouvais... juste une fois... revenir en arrière... murmura-t-elle. J’aimerais ne plus être aveuglée par mon orgueil... J’aimerais protéger Adèle. Juste... ma sœur. Une lumière étrange enveloppa soudain la place. Le monde se figea. Le temps cessa. — Tu veux vraiment revenir en arrière ? La voix était douce... et moqueuse. Une silhouette flotta dans l’air. Un être étrange, ni homme ni femme, aux yeux brillants d’un éclat surnaturel. — Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?! — Je suis celle qui t’accordera ta requête. Mais à une seule condition : ne refais pas les mêmes erreurs. — Bien sûr que non ! Je ferai tout pour elle, je le jure ! L’être la fixa longuement, puis fit un geste. — Bien. Alors… adieu. — Adieu ?! Attends, comment ça adieu ?! Tu me prends pour qui ?! cria la jeune fille. — Tu n’es plus rien ici. Tu vas partir. Et cette fois... essaie de mériter le respect, duchesse déchue. — Comment oses-tu ! Je suis la fille d’un duc ! — Ouais, et maintenant ? Le respect... il est mort avec toi. Furieuse, elle leva le pied et frappa la silhouette. Mais tout se brouilla. Un cri. Une douleur. Puis... le silence. Quand elle ouvrit les yeux, une lumière douce baignait la pièce. Elle n’était plus sur la place d’exécution. Elle n’était plus enchaînée. Ses mains… petites, potelées. Son corps… trop léger. — Hein… ? Où est-ce que je suis… ? Qu’est-ce que… Elle se redressa, observa autour d’elle. Des rideaux brodés, un lit à baldaquin, un miroir doré. Une chambre luxueuse… familière. — Ma chambre ?! Celle de mon enfance… ? Elle se précipita devant le miroir. Une petite fille lui rendit son reflet. — Non… c’est impossible… c’est moi ? J’ai... rajeuni ?

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Elle s’agenouilla au centre de la place, les poignets enchaînés, le regard vide. Tout autour, le peuple murmurait. Le jugement était tombé. Elle allait être exécutée. Et pourtant, dans son cœur, ce n’était ni la peur, ni la colère. C’était le regret. — Si je pouvais... juste une fois... revenir en arrière... murmura-t-elle. J’aimerais ne plus être aveuglée par mon orgueil... J’aimerais protéger Adèle. Juste... ma sœur. Une lumière étrange enveloppa soudain la place. Le monde se figea. Le temps cessa. — Tu veux vraiment revenir en arrière ? La voix était douce... et moqueuse. Une silhouette flotta dans l’air. Un être étrange, ni homme ni femme, aux yeux brillants d’un éclat surnaturel. — Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?! — Je suis celle qui t’accordera ta requête. Mais à une seule condition : ne refais pas les mêmes erreurs. — Bien sûr que non ! Je ferai tout pour elle, je le jure ! L’être la fixa longuement, puis fit un geste. — Bien. Alors… adieu. — Adieu ?! Attends, comment ça adieu ?! Tu me prends pour qui ?! cria la jeune fille. — Tu n’es plus rien ici. Tu vas partir. Et cette fois... essaie de mériter le respect, duchesse déchue. — Comment oses-tu ! Je suis la fille d’un duc ! — Ouais, et maintenant ? Le respect... il est mort avec toi. Furieuse, elle leva le pied et frappa la silhouette. Mais tout se brouilla. Un cri. Une douleur. Puis... le silence. Quand elle ouvrit les yeux, une lumière douce baignait la pièce. Elle n’était plus sur la place d’exécution. Elle n’était plus enchaînée. Ses mains… petites, potelées. Son corps… trop léger. — Hein… ? Où est-ce que je suis… ? Qu’est-ce que… Elle se redressa, observa autour d’elle. Des rideaux brodés, un lit à baldaquin, un miroir doré. Une chambre luxueuse… familière. — Ma chambre ?! Celle de mon enfance… ? Elle se précipita devant le miroir. Une petite fille lui rendit son reflet. — Non… c’est impossible… c’est moi ? J’ai... rajeuni ?
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Elle s’agenouilla au centre de la place, les poignets enchaînés, le regard vide. Tout autour, le peuple murmurait. Le jugement était tombé. Elle allait être exécutée. Et pourtant, dans son cœur, ce n’était ni la peur, ni la colère. C’était le regret. — Si je pouvais... juste une fois... revenir en arrière... murmura-t-elle. J’aimerais ne plus être aveuglée par mon orgueil... J’aimerais protéger Adèle. Juste... ma sœur. Une lumière étrange enveloppa soudain la place. Le monde se figea. Le temps cessa. — Tu veux vraiment revenir en arrière ? La voix était douce... et moqueuse. Une silhouette flotta dans l’air. Un être étrange, ni homme ni femme, aux yeux brillants d’un éclat surnaturel. — Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?! — Je suis celle qui t’accordera ta requête. Mais à une seule condition : ne refais pas les mêmes erreurs. — Bien sûr que non ! Je ferai tout pour elle, je le jure ! L’être la fixa longuement, puis fit un geste. — Bien. Alors… adieu. — Adieu ?! Attends, comment ça adieu ?! Tu me prends pour qui ?! cria la jeune fille. — Tu n’es plus rien ici. Tu vas partir. Et cette fois... essaie de mériter le respect, duchesse déchue. — Comment oses-tu ! Je suis la fille d’un duc ! — Ouais, et maintenant ? Le respect... il est mort avec toi. Furieuse, elle leva le pied et frappa la silhouette. Mais tout se brouilla. Un cri. Une douleur. Puis... le silence. Quand elle ouvrit les yeux, une lumière douce baignait la pièce. Elle n’était plus sur la place d’exécution. Elle n’était plus enchaînée. Ses mains… petites, potelées. Son corps… trop léger. — Hein… ? Où est-ce que je suis… ? Qu’est-ce que… Elle se redressa, observa autour d’elle. Des rideaux brodés, un lit à baldaquin, un miroir doré. Une chambre luxueuse… familière. — Ma chambre ?! Celle de mon enfance… ? Elle se précipita devant le miroir. Une petite fille lui rendit son reflet. — Non… c’est impossible… c’est moi ? J’ai... rajeuni ?

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9 months ago

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